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Déclarer ses impôts en tant qu’auto-entrepreneur est une étape essentielle pour tout entrepreneur individuel. Cette démarche fiscale peut parfois sembler complexe, mais il est important de s’y pencher sérieusement pour éviter tout problème avec l’administration fiscale. Dans cet article, nous allons aborder les différentes étapes et les points clés pour une déclaration d’impôts efficace en tant qu’auto-entrepreneur.

Conditions pour déclarer ses impôts

Pour les auto-entrepreneurs, la déclaration d’impôts peut sembler complexe, mais elle est assez simple en suivant les étapes appropriées. Tout d’abord, il est essentiel de s’assurer de respecter certaines conditions avant de procéder à la déclaration.

En tant qu’auto-entrepreneur, vous devez remplir les conditions suivantes :

  • Être inscrit auprès du Centre de Formalités des Entreprises (CFE).
  • Ne pas dépasser les seuils de chiffre d’affaires définis par le régime de l’auto-entrepreneur :
    • 72 600 € pour les prestations de services et les professions libérales.
    • 176 200 € pour les activités commerciales et d’hébergement.

  • 72 600 € pour les prestations de services et les professions libérales.
  • 176 200 € pour les activités commerciales et d’hébergement.
  • 72 600 € pour les prestations de services et les professions libérales.
  • 176 200 € pour les activités commerciales et d’hébergement.

Une fois ces conditions remplies, vous pouvez procéder à la déclaration de vos impôts.

La déclaration de revenus de l’auto-entrepreneur se fait directement sur le site de l’administration fiscale. Pour ce faire, vous devrez vous munir de votre identifiant fiscal et du mot de passe associé.

Voici les étapes à suivre :

  • Connectez-vous à votre espace personnel sur le site des impôts.
  • Accédez à la section « Déclarer mes revenus ».
  • Choisissez l’année fiscale concernée.
  • Remplissez le formulaire de déclaration en indiquant votre chiffre d’affaires brut encaissé.

L’administration fiscale calculera automatiquement votre impôt à partir des informations fournies. Attention, il est important de bien différencier le chiffre d’affaires brut et le bénéfice net, car seules les recettes encaissées doivent être déclarées.

Pour les auto-entrepreneurs soumis au versement libératoire de l’impôt sur le revenu, il suffira de cocher la case correspondante sur le formulaire de déclaration de revenus.

Enfin, il est crucial de bien conserver toutes les pièces justificatives relatives à votre activité (factures, relevés bancaires, etc.) en cas de contrôle fiscal.

Inscription au régime de l’auto-entrepreneur

Pour pouvoir déclarer ses impôts en tant qu’auto-entrepreneur, il est essentiel de respecter certaines conditions. Tout d’abord, le chiffre d’affaires de l’auto-entrepreneur ne doit pas dépasser les seuils fixés par la loi :

  • 72 600 € pour les prestations de service
  • 176 200 € pour les activités de vente de marchandises

Ces seuils doivent être ajustés si l’activité a débuté en cours d’année. Il est aussi crucial de maintenir une comptabilité simplifiée et de tenir un livre des recettes, et, si applicable, un registre des achats.

L’inscription au régime de l’auto-entrepreneur est une étape primordiale. Il suffit de remplir une déclaration de début d’activité en ligne sur le site de l’Urssaf. Après l’inscription, un numéro SIRET est attribué, permettant à l’auto-entrepreneur de débuter son activité.

Une fois les données de votre activité collectées, vous devrez effectuer votre déclaration de chiffre d’affaires mensuellement ou trimestriellement, selon l’option choisie lors de votre inscription. Cette déclaration se fait via le site de l’Urssaf.

En parallèle, il est important de déclarer vos revenus annuels via la déclaration complémentaire des revenus (formulaire n°2042-C-PRO) lors de votre déclaration annuelle de revenus. Le revenu imposable est calculé après application d’un abattement forfaitaire pour frais professionnels (34% pour les prestations de services, 50% pour les ventes de marchandises).

La taxe pour frais de chambre consulaire doit également être prise en compte si vous exercez une activité commerciale, artisanale ou libérale. Enfin, n’oubliez pas de vérifier si vous êtes redevable de la cotisation foncière des entreprises (CFE), payable chaque année.

Choix du régime d’imposition

En tant qu’auto-entrepreneur, il est essentiel de bien comprendre les conditions pour déclarer ses impôts. D’abord, il faut s’assurer que votre chiffre d’affaires annuel ne dépasse pas les plafonds fixés par l’administration. Pour les prestations de services, ce plafond est de 77 700 euros, tandis que pour les activités commerciales et artisanales, il est de 188 700 euros.

Ensuite, vous devez choisir le régime d’imposition le plus adapté à votre situation. Ce choix dépend principalement de votre chiffre d’affaires et de la nature de votre activité. Deux régimes principaux s’offrent à vous :

  • Micro-fiscal simplifié : Ce régime est particulièrement adapté si votre chiffre d’affaires reste en dessous des seuils mentionnés plus haut. Vous bénéficiez de simplifications comptables et fiscales, comme le calcul automatique de votre impôt et des cotisations sociales en fonction de votre chiffre d’affaires.
  • Micro-entreprise avec versement libératoire : En souscrivant à ce régime, vous payez un pourcentage fixe de votre chiffre d’affaires chaque mois ou trimestre. Ce pourcentage inclut à la fois l’impôt sur le revenu et les cotisations sociales, simplifiant ainsi vos obligations fiscales.

Pour déclarer vos impôts, suivez ces étapes :

  1. Créez un espace professionnel sur le site impots.gouv.fr.
  2. Déclarez votre chiffre d’affaires trimestriellement ou mensuellement, selon l’option choisie.
  3. Paiement des cotisations : Une fois le chiffre d’affaires déclaré, vous devez payer vos cotisations sociales et fiscales directement sur le site.
  4. Déclaration annuelle de revenus : À la fin de l’année, n’oubliez pas de déclarer vos revenus d’auto-entrepreneur sur votre déclaration d’impôt personnelle.

Respecter ces étapes permet de rester en règle avec l’administration fiscale et d’éviter d’éventuelles pénalités. Suivre ces indications vous aidera à naviguer plus facilement dans le monde de la fiscalité en tant qu’auto-entrepreneur.

Déclaration du chiffre d’affaires

En tant qu’auto-entrepreneur, vous devez remplir certaines conditions pour déclarer vos impôts. La première condition est d’avoir correctement inscrit votre activité auprès du Centre de Formalités des Entreprises (CFE). Il est essentiel de déclarer votre chiffre d’affaires même si celui-ci est nul.

Vous devez également opter pour un régime fiscal adapté à votre situation. Les options incluent le micro-fiscal simplifié, le versement libératoire de l’impôt sur le revenu ou le régime de l’impôt sur les sociétés. Chaque régime a ses particularités et il est conseillé de choisir en fonction de votre situation financière personnelle.

L’une des principales obligations d’un auto-entrepreneur est la déclaration mensuelle ou trimestrielle du chiffre d’affaires. Cette déclaration permet de calculer les cotisations sociales et les impôts à payer.

Voici les étapes principales pour déclarer votre chiffre d’affaires :

  1. Connectez-vous sur le site officiel de l’Urssaf ou sur le portail des auto-entrepreneurs.
  2. Renseignez votre chiffre d’affaires pour la période concernée.
  3. Calculez automatiquement vos cotisations en fonction du taux applicable à votre activité (vente de marchandises, prestations de services, etc.).
  4. Payez les cotisations sociales.

Il est crucial de respecter les délais de déclaration pour éviter des pénalités. La période de déclaration varie selon l’option choisie entre la déclaration mensuelle ou trimestrielle.

Enfin, il est possible d’opter pour le versement libératoire de l’impôt sur le revenu. Cette option vous permet de payer à la fois vos cotisations sociales et votre impôt sur le revenu chaque mois ou chaque trimestre. Cela simplifie beaucoup la gestion de votre activité.

Déductions fiscales possibles

Déclarer ses impôts en tant qu’auto-entrepreneur peut sembler complexe, mais avec une bonne organisation, cela devient plus simple. Voici les étapes et les déductions fiscales possibles auxquelles vous pourriez avoir droit.

La première chose à faire est de vous connecter au site des impôts et de remplir le formulaire dédié aux auto-entrepreneurs. Assurez-vous d’avoir tous vos documents financiers à portée de main. Cela inclut vos factures, vos reçus et toute autre preuve de revenu que vous pourriez avoir.

En tant qu’auto-entrepreneur, vous pouvez bénéficier de plusieurs déductions fiscales :

  • Frais de déplacement : Les coûts liés à vos déplacements professionnels peuvent être déduits.
  • Matériel professionnel : L’achat de matériel nécessaire à votre activité peut également être déduit.
  • Frais de bureau : Si vous travaillez depuis votre domicile, une partie de vos frais de logement peut être déduite.
  • Formations professionnelles : Les dépenses liées à des formations pour améliorer vos compétences peuvent être déduites.

L’année fiscale pour les auto-entrepreneurs fonctionne de la même manière que pour les salariés. Vous devez déclarer vos revenus et vos dépenses sur une base annuelle. Il est essentiel de garder une trace précise de toutes vos transactions pour pouvoir justifier vos déductions si nécessaire.

Si vous avez des questions ou avez besoin d’aide, n’hésitez pas à consulter un expert-comptable ou à contacter le service des impôts. Ils peuvent vous fournir des conseils spécifiques à votre situation.

Frais professionnels

Déclarer ses impôts en tant qu’auto-entrepreneur peut sembler intimidant, mais avec un peu d’organisation et de connaissance, cela devient une tâche plus gérable. Voici comment procéder pour ne rien omettre et profiter des avantages fiscaux disponibles.

Les déductions fiscales permettent de réduire le montant imposable et donc le montant des impôts à payer. Pour un auto-entrepreneur, plusieurs frais peuvent être déductibles. Parmi eux, on retrouve :

  • Les frais de matériel et d’équipement
  • Les frais de déplacement
  • Les frais de formation professionnelle
  • Les dépenses liées à la sous-traitance
  • Les frais bancaires professionnels

Les frais professionnels sont les dépenses nécessaires à l’exercice de votre activité. Ils peuvent inclure :

  • Frais de matériel et d’équipement : Achat de matériel informatique, de mobilier de bureau, etc.
  • Frais de déplacement : Frais de transport, hébergement et repas lors de déplacements professionnels.
  • Frais de formation professionnelle : Coûts des formations visant à améliorer vos compétences professionnelles.
  • Sous-traitance : Paiement de prestataires externes pour des services nécessaires à votre activité.
  • Frais bancaires : Frais de tenue de compte professionnel, commissions bancaires, etc.

Pour bénéficier de ces déductions, il est essentiel de conserver toutes les preuves de dépenses (factures, tickets de caisse) et de bien les organiser. Ces documents vous seront demandés en cas de contrôle fiscal.

Amortissement des biens

Déclarer ses impôts en tant qu’auto-entrepreneur s’avère parfois complexe. Le régime de la micro-entreprise offre cependant certaines options de déductions fiscales avantageuses, sous réserve de respecter les règles établies par l’administration fiscale.

Il est essentiel de bien connaître les différentes déductions fiscales possibles. Celles-ci peuvent inclure :

  • Les frais de déplacement liés à des missions (essence, billets de train, etc.)
  • Les achats de fournitures diverses nécessaires à l’activité
  • Les dépenses de communication (internet, téléphone professionnel)

Pour bénéficier de ces déductions, il faut veiller à bien conserver toutes les factures et justificatifs.

Concernant l’amortissement des biens, l’auto-entrepreneur peut déduire une partie de la valeur d’achat de certains biens utilisés pour l’activité professionnelle. Cela s’applique notamment aux équipements informatiques, véhicules ou mobilier de bureau.

Pour que l’amortissement soit valable, il doit remplir plusieurs conditions :

  • Le bien doit être d’une valeur minimale spécifique (généralement fixée par l’administration fiscale)
  • Il doit être utilisé principalement pour l’activité professionnelle
  • La durée d’amortissement doit correspondre à la durée de vie utile estimée du bien

En respectant ces critères, l’auto-entrepreneur pourra optimiser sa déclaration fiscale et réduire sa charge d’imposition.

Dépenses liées à l’activité

Déclarer ses impôts en tant qu’auto-entrepreneur peut sembler complexe, mais avec une bonne organisation, le processus devient plus simple. Voici quelques points-clés à retenir.

Les auto-entrepreneurs peuvent déduire certaines dépenses liées à leur activité pour réduire leur base taxable. Voici quelques exemples :

  • Achats de matériel et fournitures
  • Frais de déplacement professionnels
  • Location d’un espace de travail
  • Frais de publicité et marketing
  • Assurance professionnelle

Pensez à bien conserver tous vos justificatifs de dépenses pour les présenter en cas de contrôle fiscal.

Les différentes déclarations à effectuer

En tant qu’auto-entrepreneur, il est crucial de bien comprendre les différentes déclarations fiscales à effectuer pour être en conformité avec la législation.

Il y a principalement deux types de déclarations à réaliser : la déclaration de chiffre d’affaires et la déclaration annuelle.

Déclaration de chiffre d’affaires :

Selon la périodicité choisie lors de la création de votre statut, vous devez déclarer votre chiffre d’affaires mensuellement ou trimestriellement. Cette déclaration est à réaliser sur le site dédié aux auto-entrepreneurs et doit inclure tous les montants encaissés durant la période choisie.

  • Connectez-vous à votre espace personnel sur le site autoentrepreneur.urssaf.fr.
  • Accédez à la section « Déclarer et payer » et sélectionnez la période concernée.
  • Indiquez le montant total de votre chiffre d’affaires, même s’il est nul.
  • Validez et effectuez le paiement des cotisations sociales et fiscales.

Déclaration annuelle :

En tant qu’auto-entrepreneur, vous devez également remplir une déclaration complémentaire de revenus. Cette déclaration permet à l’administration fiscale de calculer votre impôt sur le revenu basé sur votre activité professionnelle.

  • Accédez à votre espace personnel sur impots.gouv.fr.
  • Rendez-vous dans la section « Déclarer mes revenus ».
  • Complétez le formulaire 2042-C-PRO, spécifique aux revenus des auto-entrepreneurs.
  • Déclarez les montants dans les cases « Revenus industriels et commerciaux », « Revenus non commerciaux » ou « Revenus agricoles » en fonction de la nature de votre activité.
  • Validez et soumettez votre déclaration.

En plus de ces déclarations principales, n’oubliez pas de tenir à jour votre livre de recettes, où vous consignez toutes les entrées financières liées à votre activité. Cela facilitera grandement la procédure en cas de contrôle fiscal.

Déclaration de revenus annuelle

En tant qu’auto-entrepreneur, il est crucial de bien comprendre quelles sont les déclarations fiscales nécessaires pour rester en conformité avec la législation française. Différents types de déclarations sont à effectuer au cours de l’année.

Lorsqu’on est auto-entrepreneur, il existe principalement trois déclarations à réaliser :

  • Déclaration de chiffre d’affaires
  • Déclaration de revenus
  • Déclaration de TVA (si l’auto-entrepreneur dépasse les seuils de franchise en base de TVA)

Chaque type de déclaration a des spécificités et des échéances à respecter pour éviter des pénalités.

La déclaration de revenus annuelle est une étape clé pour tout auto-entrepreneur. Cette déclaration doit être réalisée chaque année, généralement au mois de mai. L’auto-entrepreneur doit indiquer l’ensemble de ses revenus professionnels de l’année précédente.

Voici les étapes à suivre :

  • Accéder à l’espace personnel sur le site des impôts.
  • Remplir le formulaire 2042-C-PRO.
  • Indiquer le chiffre d’affaires brut réalisé.
  • Valider et envoyer la déclaration.

Il est important de vérifier toutes les informations et de conserver une copie de la déclaration pour vos archives personnelles.

Pour ceux qui bénéficient du régime de micro-fiscal, l’impôt sur le revenu est calculé de manière simplifiée et un prélèvement forfaitaire obtiendra également en fonction du type d’activité exercée.

Déclaration de TVA

En tant qu’auto-entrepreneur, il est essentiel de connaître les différentes déclarations fiscales à effectuer pour rester en conformité avec les lois françaises.

La principale déclaration concerne les revenus. Une fois par an, vous devez déclarer vos revenus d’auto-entrepreneur sur votre déclaration de revenus personnelle. Il suffit de remplir le formulaire 2042 C PRO, en précisant le montant du chiffre d’affaires réalisé.

En complément, certains auto-entrepreneurs doivent également déclarer et payer la cotisation foncière des entreprises (CFE) chaque année.

La TVA est une autre déclaration importante, surtout si vous dépassez les seuils de franchise. Les auto-entrepreneurs peuvent opter pour le régime réel simplifié ou réel normal.

Si vous êtes au régime réel simplifié, la déclaration de TVA se fait deux fois par an via le formulaire CA12. Pour le régime réel normal, vous devez déposer une déclaration chaque mois ou chaque trimestre en utilisant le formulaire CA3.

Les principales étapes pour la déclaration de TVA sont :

  • Calculer le montant de la TVA collectée sur vos ventes.
  • Déduire la TVA déductible sur vos achats professionnels.
  • Remplir le formulaire approprié (CA12 ou CA3).
  • Payer le solde de TVA.

Il est important de consulter régulièrement votre espace professionnel sur le site des impôts pour vérifier les dates limites de déclaration et de paiement.

Déclaration complémentaire

En tant qu’auto-entrepreneur, il est essentiel de comprendre les différentes déclarations fiscales à effectuer pour être en règle avec l’administration fiscale. Voici un guide pour vous aider dans vos démarches.

En tant qu’auto-entrepreneur, vous devez effectuer plusieurs déclarations fiscales tout au long de l’année :

  • Déclaration de chiffre d’affaires : Cette déclaration doit être faite mensuellement ou trimestriellement, selon l’option choisie lors de la création de votre statut. Elle permet de calculer le montant des cotisations sociales à payer.
  • Déclaration annuelle des revenus (2042 C PRO) : Cette déclaration complémentaire est intégrée à la déclaration d’impôt sur le revenu classique (formulaire 2042). Elle permet de déclarer les revenus générés par votre activité d’auto-entrepreneur.
  • Déclaration et paiement de la TVA : Si vous dépassez les seuils de franchise TVA, vous devez déclarer et payer la TVA collectée. L’option pour le régime simplifié ou normal de TVA doit être choisie selon votre situation.

La déclaration complémentaire (formulaire 2042 C PRO) est cruciale pour les auto-entrepreneurs. Elle s’ajoute à votre déclaration de revenus globale et permet de spécifier les montants liés à votre activité professionnelle.

Voici comment remplir le formulaire :

  • Récupérez le formulaire 2042 C PRO sur le site des impôts.
  • Renseignez les informations personnelles et cochez la case correspondante à votre statut d’auto-entrepreneur.
  • Indiquez le chiffre d’affaires brut généré par votre activité dans les cases dédiées.
  • Validez et soumettez votre déclaration en ligne.

Respecter ces étapes vous permet de vous conformer aux obligations fiscales et d’éviter les sanctions.

Les erreurs à éviter

Déclarer ses impôts en tant qu’auto-entrepreneur peut sembler compliqué, mais c’est une étape essentielle pour rester en règle avec l’administration fiscale et éviter les sanctions. Voici quelques points clés pour vous guider dans cette démarche.

La déclaration de revenus en tant qu’auto-entrepreneur se fait via le formulaire adéquat. Vous devez utiliser le formulaire 2042-C PRO, qui est disponible en ligne sur le site des impôts. Ce formulaire permet de déclarer vos revenus professionnels. Il est important de remplir correctement chaque section pour éviter des erreurs qui pourraient entraîner des pénalités.

Parmi les erreurs courantes à éviter :

  • Ne pas diviser correctement les revenus : Assurez-vous de bien distinguer les revenus issus de vos différentes activités si vous avez plusieurs types d’activités.
  • Oublier de déduire les frais professionnels : Même en tant qu’auto-entrepreneur, certains frais professionnels peuvent être déductibles. Soyez attentif aux déductions possibles.
  • Mauvaise estimation des cotisations sociales : Utilisez les outils en ligne fournis par l’URSSAF pour calculer vos cotisations correctes et évitez d’estimer à l’aveugle.
  • Oublier les acomptes : Ne pas déclarer ou payer ses acomptes trimestriels ou mensuels peut conduire à des pénalités. Inscrivez des rappels pour ne pas rater ces échéances.

Un autre point crucial est l’importance de bien remplir les cases concernant les prélèvements sociaux. Les auto-entrepreneurs ont des taux spécifiques qui doivent être appliqués correctement. Assurez-vous d’avoir accès aux taux actuels en consultant régulièrement le site de l’URSSAF.

Enfin, n’hésitez pas à utiliser les outils et les guides disponibles en ligne pour vous aider. L’administration fiscale propose souvent des documents explicatifs très utiles. Si vous avez un doute, il est toujours préférable de contacter directement l’administration fiscale ou de consulter un expert-comptable.

Sous-estimation du chiffre d’affaires

Déclarer ses impôts en tant qu’auto-entrepreneur peut sembler complexe, mais avec une bonne organisation, c’est tout à fait gérable. Il est crucial de connaître les étapes précises et d’éviter certaines erreurs fréquentes pour ne pas avoir de mauvaises surprises.

En tant qu’auto-entrepreneur, il est facile de faire des erreurs lors de la déclaration de vos impôts. Voici quelques-unes des erreurs les plus courantes et comment les éviter :

  • Sous-estimation du chiffre d’affaires
  • Ne pas séparer les dépenses personnelles et professionnelles
  • Manquer de rigueur dans la tenue des livres comptables
  • Oublier de déclarer les exonérations et les réductions d’impôt

La sous-estimation du chiffre d’affaires est une erreur courante qui peut entraîner des pénalités. Pour éviter cela :

  • Tenez un registre précis de toutes vos recettes.
  • Utilisez un logiciel de comptabilité pour une gestion plus rigoureuse.
  • Assurez-vous de déclarer toutes vos sources de revenus. Même les petites sommes doivent être incluses.

En prenant ces précautions, vous éviterez les problèmes et pourrez gérer votre activité en toute sérénité.

Mauvaise classification des dépenses

Pour déclarer vos impôts en tant qu’auto-entrepreneur, il est impératif de suivre certaines étapes afin de respecter les obligations fiscales. La première chose à faire est de vous inscrire auprès du Centre de Formalités des Entreprises (CFE) pour obtenir votre numéro SIRET. Ce numéro est essentiel pour toutes vos démarches administratives.

Ensuite, vous devez choisir le régime fiscal adapté à votre situation. Les auto-entrepreneurs ont généralement le choix entre le régime micro-fiscal simplifié et le versement libératoire de l’impôt sur le revenu. Le choix du régime dépend de votre chiffre d’affaires et de votre situation personnelle.

Chaque mois ou chaque trimestre, selon l’option que vous aurez choisie, vous devez déclarer votre chiffre d’affaires sur le site de l’URSSAF. Ne négligez pas cette étape car toute omission peut entraîner des pénalités. Lors de cette déclaration, vous aurez à indiquer le montant total des recettes encaissées sur la période.

Éviter les erreurs courantes est crucial pour ne pas subir de redressements fiscaux.

La mauvaise classification des dépenses est une erreur fréquente parmi les auto-entrepreneurs. Il est essentiel de bien différencier les dépenses professionnelles des dépenses personnelles. Par exemple, les frais de transport, les fournitures de bureau et les abonnements peuvent être déduits à condition qu’ils soient utilisés uniquement dans le cadre de votre activité professionnelle.

Pour faciliter cette tâche, suivez les règles suivantes :

  • Conservez toutes vos factures et justificatifs de dépenses.
  • Utilisez des libellés clairs et précis dans votre comptabilité.
  • Classez vos dépenses par catégories (transport, fournitures, abonnements, etc.).

Etablir une bonne organisation dès le début de votre activité vous évitera des erreurs et des complications lors de vos déclarations fiscales.

Retard dans les déclarations

En tant qu’auto-entrepreneur, il est essentiel de bien comprendre les démarches pour déclarer ses impôts. Une mauvaise gestion fiscale peut entraîner des pénalités financières et compliquer la gestion de votre activité. Voici quelques conseils pour éviter les erreurs courantes.

De nombreux auto-entrepreneurs commettent des erreurs qui peuvent coûter cher. Pour éviter ces pièges, voici quelques points à surveiller :

  • Oublier de déclarer ses revenus mensuellement ou trimestriellement selon le régime choisi.
  • Ne pas tenir une comptabilité rigoureuse, y compris la conservation des justificatifs de dépenses.
  • Confondre chiffres d’affaires et bénéfices. Seul le chiffre d’affaires doit être déclaré.
  • Oublier de déclarer certains dépôt à l’Urssaf ou des cotisations sociales.

Un retard dans les déclarations fiscales peut entraîner des pénalités. Pour éviter ces situations, suivez ces conseils :

  • Notez les dates limites de déclaration sur un calendrier.
  • Utilisez des outils de gestion administrative spécifiques aux auto-entrepreneurs.
  • Vérifiez régulièrement vos boîtes aux lettres postale et électronique pour ne pas manquer des notifications.
  • En cas de difficulté, n’hésitez pas à consulter un expert-comptable spécialisé.