L’expansion d’internet avec l’arrivée naturelle des smartphones et des tablettes a été le terrain du succès des réseaux sociaux. A cet égard, on entend souvent parler d’exagération : ce n’est pas une coïncidence si nous entendons de plus en plus le terme dépendance référé aux réseaux sociaux, un peu comme on l’utilise pour parler d’un joueur par exemple chez notre au Vulkan casino.
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Le besoin de débrancher
Souvent, les réseaux sociaux sont à l’origine de pertes d’emploi, de ruptures de relations avec des personnes importantes et d’un éloignement constant de la vie réelle au profit du virtuel. Les réseaux sociaux sont nés pour être un outil de partage, de socialisation, de promotion, de communication et d’information. Toutefois, il existe un désir accru de montrer sa vie, de se mettre en valeur, de mettre continuellement à jour le profil, de filtrer ses photos, de cacher les défauts et d’être parfait aux yeux de ses contacts afin de chercher désespérément à plaire au monde. Et si on met tout cela en pause ?
Connaître les risques qui se cachent dans les réseaux sociaux
Quinze minutes de célébrité peuvent avoir des conséquences émotionnelles, sociales, financières, judiciaires et sanitaires. De plus en plus de rapports font état de profils sociaux d’entreprises piratés, d’enfants attirés par des cyber-pédophiles ou attaqués par des cyber-bullies, d’escroqueries en ligne, d’incidents de harcèlement et d’usurpation d’identité.
Aucun utilisateur n’est à l’abri des risques et des dangers réels qui se cachent dans le monde virtuel de la toile et surtout dans les réseaux sociaux, des enfants aux adultes, des grandes marques aux influenceurs, des entreprises informatiques aux organismes institutionnels.
Dépendance à l’égard d’Internet (IAD – Internet Addiction Disorder)
Des actions désespérées pour recevoir des demandes d’amitié, des likes, des commentaires, des partages, des vues et des approbations : ce sont des mécanismes qui pèsent sur la personnalité des utilisateurs, notamment des adolescents. Comme déjà mentionné, l’addiction peut devenir un problème très très sérieux et s’en sortir n’est pas si facile.
Confidentialité et gestion des données personnelles
La protection des données personnelles et le respect des limites d’âge des membres des réseaux sociaux jouent un rôle fondamental. En fait, il y a des lois différentes qui stipulent quelle est l’âge minimum pour obtenir le consentement au traitement de données sensibles à des fins commerciales et de marketing (souvent c’est quatorze ans).
Les plateformes sociales, qu’elles soient émergentes ou non, doivent absolument se conformer à la loi responsable du traitement de concevoir, planifier et gérer les données personnelles. Pour contrer l’utilisation abusive des données, outre la décision radicale de supprimer les profils des plateformes, il existe une solution plus douce : utiliser un VPN (Virtual Private Network) capable de créer un réseau privé virtuel qui garantit l’anonymat, la confidentialité et la sécurité des données.
Hameçonnage
Le phishing (hameçonnage) est une tentative de fraude menée par des criminels qui, se faisant passer pour des pages d’entreprises ou des profils sociaux dignes de confiance, parviennent habilement à mettre la main sur les données sensibles des victimes. Le terme dérive de l’anglais et est une variante de to fish, précisément parce qu’il désigne l’action de pêcher incognito des mots de passe, des noms d’utilisateur, des numéros de carte de crédit, des codes d’accès, etc.
Sextorsion, pédopornographie, sexting et grooming
Les réseaux sociaux sont très populaires pour se faire de nouveaux amis et élargir son réseau de contacts. Mais malheureusement, il arrive que l’on fasse des rencontres désagréables.
Ces situations donnent lieu à des cas de :
- Sextorsion, c’est-à-dire la véritable extorsion sexuelle, une escroquerie en ligne qui consiste à menacer la victime de publier et de divulguer des vidéos ou des images compromettantes en échange de services sexuels ou d’une compensation financière.
- Pédopornographie en ligne qui consiste à produire, diffuser, distribuer et promouvoir des images ou des vidéos d’adolescents et d’enfants filmés dans des actes et des comportements sexuels réels ou simulés, voire des représentations d’organes sexuels.
- Sexting, qui a commencé par l’envoi de messages textuels au contenu sexuellement explicite et a évolué avec l’envoi de photos et de vidéos à caractère sexuel dans les salons de discussion des réseaux sociaux et des plateformes de messagerie. Dans les cas où les victimes effectuent des actions en échange d’argent, de cadeaux ou de recharges téléphoniques, cela conduit au phénomène de la micro-prostitution.
- Grooming, soit le pédopiégeage, c’est-à-dire l’ensemble des comportements bien étudiés des adultes dans le but de susciter la sympathie, la confiance et de créer un lien affectif avec l’enfant.
Cyber-brimades
La cyber-brimade est l’évolution numérique de l’intimidation traditionnelle, un phénomène qui touche principalement les enfants, les préadolescents et les adolescents. Il s’agit d’une forme de violence, d’intimidation et de prévarication envers une victime par un groupe ou un individu. Contrairement aux brimades, avec les actions d’intimidation des cyberbullies, la cible identifiée n’est jamais en sécurité, même entre les murs de la maison, puisque sur les médias sociaux et en général sur le web, elle est perpétuellement exposée à des attaques agressives, des commentaires négatifs, des discriminations et des insultes.