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L’assurance-vie est reconnue comme le placement préféré des Français. C’est un contrat assez pertinent qui vous permet non seulement de bénéficier d’une fiscalité allégée, mais aussi de financer un projet à moyen terme ou de préparer votre retraite. Au nombre de ses nombreux avantages, l’assurance-vie vous permet d’assurer une transmission du capital sécurisée ou vous offre la possibilité de transformer votre capital en rente viagère. Dans cet article, nous revenons sur quelques raisons essentielles pour lesquelles vous devez souscrire à une assurance-vie.

1.Se constituer un capital sur le long terme

Le premier gros avantage de l’assurance-vie se résume à la constitution d’un capital sur le long terme. En effet, c’est une sorte d’épargne que vous réalisez qui pourra vous servir à n’importe quel moment selon les modalités incluses dans le contrat. Quelques années après votre contrat, vous pouvez retirer votre capital, c’est-à-dire retirer l’argent déposé avec des intérêts nets. Pour mieux vous aider à vous décider, vous pouvez lire les Avis Nalo.

L’assurance-vie reste un outil de fructification de l’épargne. Vous pouvez en profiter de votre vivant ou faire profiter vos héritiers après votre décès. La souplesse de son fonctionnement le rend accessible à tous les épargnants, modestes ou nantis.

2.Compléter vos revenus à la retraite

4 raisons pertinentes pour souscrire à un contrat d’assurance-vie
 

L’assurance-vie vous offre la possibilité de compléter vos revenus à la retraite. C’est une opportunité pour tout épargnant de pouvoir vivre à l’aise quand il a cessé de travailler. Vous pouvez percevoir votre capital au moyen de rachats partiels programmés ou de rentes échelonnées dans le temps. Selon le contrat que vous avez signé, vous pouvez demander à convertir votre capital en rente viagère. L’assureur vous verse des revenus à vie puisqu’il a acquis définitivement le capital. Le calcul de la rente s’effectue suivant des modalités bien établies qui prennent en compte votre épargne, votre âge et votre espérance de vie au moment où vous demandez la conversion.

Si vous voulez faire bénéficier votre assurance-vie à des héritiers ou des tiers désignés dans le contrat, vous pouvez opter pour des rachats partiels réguliers. La finalité est de laisser un capital aux bénéficiaires. C’est donc un excellent moyen de transmettre votre patrimoine grâce à une fiscalité avantageuse et à une grande liberté dans le choix des bénéficiaires.

3.La liberté de transmission aux bénéficiaires

4 raisons pertinentes pour souscrire à un contrat d’assurance-vie

Une simple désignation des bénéficiaires dans une clause contenue dans le contrat d’assurance-vie peut vous permettre de transmettre votre capital en cas de décès. L’assurance-vie ne tombe pas dans le patrimoine de succession, et donc c’est l’outil le plus adéquat pour transmettre votre capital à des proches qui ne portent pas la qualité d’héritiers ou ne figurent pas dans les premiers rangs. Vous pouvez donc transmettre votre capital issu de l’assurance-vie à des amis, à des collègues et même à des membres de votre famille qui occupent une position éloignée dans le cadre d’une succession. Vous pouvez à tout moment modifier les bénéficiaires de votre contrat selon les dispositions légales reconnues en la matière.

4.Une fiscalité allégée

L’assurance-vie bénéficie d’une fiscalité assez légère puisque vous ne payez pas de gros pourcentages pour les prélèvements ni pour les retraits. En effet, depuis septembre 2017, les intérêts issus des versements sur votre convention d’assurance-vie sont soumis au prélèvement forfaitaire unique. Ce dernier, en abrégé PFU, intervient quand vous voulez effectuer un retrait partiel ou total des sommes disponibles sur votre contrat.

Si vous voulez effectuer un retrait sur un contrat d’assurance-vie huit (8) années après l’ouverture, le PFU s’élève à 7,5 % pour des sommes versées inférieures à 150 000 euros. Si le retrait s’effectue moins de huit (8) ans après l’ouverture du contrat, le PFU s’élève dans ce cas à 12,8 %. Si vous ne le savez pas, 17,2 % de prélèvements sociaux s’ajoutent au prélèvement forfaitaire unique.